Côtes de porc panées au four ultra faciles

J’adore les escalopes de veau panées, le porc pané… Mais quand vient le moment de salir trente-six assiettes puis de rester devant la poêle à surveiller pour obtenir le bon équilibre entre « pâlichon » et « brûlé », je me dégonfle ! Il était temps que je m’attaque à ce problème dans une perspective Régal de paresse… Voici donc des côtes de porc panées au four. Pas besoin de trois tonnes d’huile, pas besoin de farine, elles cuisent sans surveillance, et c’est délicieux ! En plus, avec cette façon de procéder vous pouvez facilement faire cuire un plus grand nombre de côtes de porc en même temps. Pas mal, non ? En plus, ces côtes de porc panées sont délicieuses froides aussi, pratique pour une lunchbox gourmande !

Temps de travail : 5 minutes – À table dans 35 minutes

Ingrédients :

  • des côtes de porc (ou autre morceau à griller)
  • un œuf (plus si vous faites une grande quantité)
  • de la chapelure
  • un peu de parmesan râpé (facultatif)
  1. Dans une assiette, casser l’œuf et le battre à la fourchette en inclinant un peu l’assiette. Saler, poivrer.
  2. Dans une autre assiette, mettre de la chapelure et un tout petit peu de parmesan râpé. Sortir un plat antiadhésif pour le four suffisamment grand, et y verser un généreux filet d’huile d’olive.
  3. Passer méticuleusement les côtes de porc dans l’œuf puis dans la chapelure au parmesan, pour qu’elles soient bien recouvertes. Les déposer au fur et à mesure dans le plat.
  4. Enfourner pour environ 30 minutes de cuisson à 180°. Si vous êtes moins paresseux que moi, ou plus perfectionnistes, vous pouvez les retourner à mi-cuisson, mais ce n’est pas nécessaire !

4 réflexions sur “Côtes de porc panées au four ultra faciles

  1. Exquis et cuit parfaitement ! Merci du tuyau qui m’a effectivement permis de faire autre chose que de rester à surveiller la cuisson, et avec un résultat délicieux. Je n’aurais pas eu l’idée du four pour de la viande panée, mais c’est nickel ! Merci !!!

    1. Contente que tu aies été séduite par cette petite révolution de la panure, Armelle ! Depuis que j’ai décliné ça avec le veau et le poulet, je pane à tours de bras (surtout le veau, c’est si bon) ! Merci pour ton gentil commentaire, et ta fidélité 😉

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